La vie sans farces est comme un voyage sans auberges.
Il fait du vent sur une route et ce soir la lune est au ciel,
Toute d’argent resplendissant, comme un soir au pays d’Ambert...
L’air sent la (...)
Ni hommes, ni femmes, chantent-ils, tous Auvergnats. De la sorte, quand on songe aux travers et défauts propres à chaque sexe,
on est en droit de (...)
Reviendra l’été. Et le jardin devra être une ébauche de paradis, car paradis n’est que le nom glorieux du jardin.
→Quand on sème des épines, on ne va pas sans sabots.
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Ni hommes, ni femmes, chantent-ils, tous Auvergnats. De la sorte, quand on songe aux travers et défauts propres à chaque sexe,
on est en droit de penser que l’Auvergnat seul pourrait préparer l’avènement d’une humanité supérieure. (Ceux d’Auvergne, 1928)
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