Présentées par Claire Salvy,
Editorial de Josiane Combris.
Pierre de Nolhac était l’un des deux arrière-grands-pères auvergnats de Claire Salvy. Elle ne l’a pas connu car il est décédé dix ans avant sa naissance.
C’est grâce à sa grand-mère paternelle qu’elle a su l’existence de Pierre de Nolhac. Presque à son insu, dit-elle... et c’est après le décès de cette grand-mère qu’elle a découvert l’Auvergne. Ce fut un coup de foudre et un éblouissement qui n’a jamais faibli au cours du temps.
Evidemment, la jeune Versaillaise est devenue amoureuse d’Ambert, du Livradois, mais aussi de toute l’Auvergne dont elle apprécie les richesses et les innombrables spécialités...
On comprend mieux pourquoi elle a tant tenu à nous faire ce magnifique cadeau.
Merci Claire.
Ni hommes, ni femmes, chantent-ils, tous Auvergnats. De la sorte, quand on songe aux travers et défauts propres à chaque sexe,
on est en droit de penser que l’Auvergnat seul pourrait préparer l’avènement d’une humanité supérieure. (Ceux d’Auvergne, 1928)
